Dans la Terre le transfert thermique s'effectue par :
convection seulement.
convection et conduction.
l'intermédiaire du champ magnétique terrestre.
fusion du manteau et remontée de roches du noyau.
La croûte continentale est principalement formée :
de gabbros et granites.
de roches de la famille des granitoïdes.
de péridotites.
de roches voisines du gabbro.
Les différences d'altitude entre continents et océans sont dues au fait que :
la croûte continentale est moins dense et plus épaisse que la croûte océanique.
la croûte continentale est plus dense et plus épaisse que la croûte océanique.
la croûte continentale est moins dense et plus fine que la croûte océanique.
la croûte continentale est plus dense et plus fine que la croûte océanique.
Les chaînes de montagnes présentent parfois des ophiolites, qui sont les traces :
d’un domaine océanique disparu suite à la collision de deux lithosphères continentales
d’une activité volcanique de type point chaud
de la subduction d’une lithosphère océanique sous une autre de même nature
d’un amincissement crustal mettant à nu le manteau
Au niveau d’une chaîne de collision il se produit :
une convergence d’une lithosphère continentale et d’une lithosphère océanique
une subduction d’une lithosphère continentale sous l’autre.
une subduction océanique
un épaississement crustal par création de matériaux continentaux
Dans les zones de subduction on observe un volcanisme :
de type granodiorite, par fusion partielle de la plaque en subduction
de type andésitique par fusion partielle de péridotite de la plaque chevauchante
de type andésitique et de granodiorite par fusion partielle de péridotite de la plaque en subduction
de type andésitique par fusion partielle de péridotite de la plaque en subduction
La fusion de péridotites dans les zones de subduction a pour origine :
un flux géothermique supérieur à la moyenne
la déshydratation des matériaux de la croûte océanique subduite
la déshydratation des péridotites de la lithosphère océanique subduite
la déshydratation des péridotites de la croûte océanique subduite
Un granitoïde est une roche :
volcanique à structure grenue
volcanique à structure vitreuse
magmatique à structure vitreuse
magmatique à structure grenue
La croûte continentale :
est en moyenne plus jeune que la croûte océanique
est plus dense dans les zones de collision
s’épaissit progressivement dans les zones de collision anciennes
s’altère sous l’effet des agents de l’érosion
Bien que le concept d’espèce soit délicat à définir, on peut néanmoins considérer qu’il s’agit :
de tous les individus interféconds
d’une population ayant le même patrimoine génétique
d’une population isolée géographiquement d’autres populations
d’une population d’individus interféconds, isolée génétiquement d’autres populations
Le genre Homo :
est constitué par l’homme et les grands singes actuels
correspond à un groupe d’êtres vivants dont la biodiversité est maximale à l’époque actuelle
est associé à la production d’outils complexes
est apparu il y a environ 55 à 60 millions d’année
Le genre Homo se distingue des autres primates par :
une bipédie occasionnelle
un dimorphisme sexuel marqué
une bipédie avec trou occipital en arrière
une bipédie avec un trou occipital avancé
En relation avec la vie fixée, les plantes ont développé
un système racinaire permettant des échanges de CO2 avec le sol
un système racinaire permettant des échanges d’eau avec l’atmosphère
un système aérien permettant des échanges d’ions, d’eau et de gaz avec l’air
un système aérien et un système souterrain pouvant échanger de la matière par un système vasculaire
Le pollen :
correspond au gamète femelle
est produit par les étamines
représente l’embryon de la future graine
est toujours transporté par les insectes
La collaboration animal- plante
s’exerce exclusivement lors de la pollinisation
s’exerce lors de la pollinisation et de la fécondation
s’exerce lors de la pollinisation et de la dispersion des graines
s’exerce lors de la pollinisation et de la dispersion des gamètes
Le fruit :
contient une quantité variable d’ovules
contient une quantité variable de graines
se forme seulement à partir de l’ovule
se forme avant la pollinisation
La technique d’hybridation :
permet d’obtenir des variétés nouvelles qui cumulent les caractéristiques des 2 parents
consiste à croiser toujours 2 individus d’espèce différente
consiste à croiser 2 individus afin d’obtenir des homozygotes
est la seule technique permettant de modifier le patrimoine génétique d’une plante
L’inflammation :
est la première étape de la réponse adaptative
ne repose pas sur des mécanismes de reconnaissance mais seulement sur la mise en jeu de molécules
est effective dès le stade fœtal
est caractérisée par des symptômes stéréotypés
Lors de la réponse adaptative :
il se produit une augmentation de la quantité d’immunoglobulines dans le sang
il se produit un gonflement, rougeur, chaleur, douleur au niveau de la zone d’infection
il y a production d’antigènes par les plasmocytes
les plasmocytes se différencient en lymphocytes cytotoxiques
La vaccination :
consiste à injecter des produits immunogènes et pathogènes
mobilise la réponse innée et adaptative
contient des adjuvants qui déclenchent une réponse adaptative nécessaire à l’installation de la réponse innée
favorise la production d’antigènes par l’organisme
Lors de la méiose, il s’effectue un brassage génétique par :
un brassage intrachromosomique lors de la deuxième division de la méiose
un brassage interchromosomique puis intrachromosomique lors de la première division de la méiose
un brassage intrachromosomique puis interchromosomique lors la deuxième division de la méiose
un brassage intrachromosomique puis interchromosomique lors la première division de la méiose
Le zygote formé par fécondation :
contient une combinaison unique et nouvelle d’allèles
contient les mêmes combinaisons alléliques que ses parents
contient les mêmes combinaisons alléliques que l’un des parents
contient une combinaison allélique identique aux autres descendants du couple
L’immunité adaptative :
est présente seule chez les vertébrés
s’ajoute à l’immunité innée chez les invertébrés
est moins spécifique que l’immunité innée
s’ajoute à l’immunité innée chez les vertébrés
La sélection clonale des lymphocytes T CD8 :
peut s’effectuer par contact direct avec un virus
s’effectue toujours après la sélection clonale des lymphocytes B
nécessite la présence d’interleukine 2
s’effectue par contact avec une cellule présentatrice de l’antigène
La mémoire immunitaire :
est due à la présence de cellules mémoires à longue durée de vie
est présente dès la naissance de l’individu
permet une réponse secondaire à l’antigène plus rapide mais quantitativement moins importante
permet une réponse secondaire à l’antigène moins rapide mais quantitativement plus importante
Le réflexe myotatique :
fait intervenir une seule synapse entre deux neurones moteurs
fait intervenir une seule synapse entre deux neurones sensoriels
nécessite l’intervention de plusieurs synapses entre neurones moteurs
fait intervenir une seule synapse entre un neurone sensoriel et un neurone moteur
Le neurone moteur conduit un message nerveux :
codé en fréquence de potentiel d’action vers les centres nerveux
codé en amplitude de potentiel d’action vers le muscle effecteur
codé en fréquence de potentiel d’action vers le muscle effecteur
présentant toujours la même fréquence et la même amplitude de potentiel d’action
Au niveau du cerveau, les cartes motrices :
sont innées, présentes dès la naissance
restent identiques tout au long de la vie de l’individu
sont identiques chez tous les individus d’une même espèce
peuvent évoluer en fonction de l’apprentissage