A moyen terme, une politique monétaire expansionniste :
a un effet sur les prix, mais pas d’effets sur la production et l’investissement
a un effet sur l’investissement et les prix, mais pas sur la production.
a un effet sur l’investissement et la production, mais pas sur les prix.
La demande de monnaie banque centrale est la somme :
de la demande pour les dépôts a vue et de la demande de réserves (par les banques).
de la demande d’espèces et de la demande pour les dépôts a vue.
de la demande de réserves (par les banques) et de la demande d’espèces.
En économie ouverte et taux de change flexible, une augmentation des dépenses publiques mène à court terme à :
une amélioration des exportations nettes.
une dégradation de la balance commerciale.
un effet nul sur la demande intérieure.
La courbe en J implique qu’une dévaluation :
a un effet faible mais positif sur NX à court terme.
a un effet positif sur les importations à moyen terme.
a, dans un premier temps, un effet négatif sur la balance commerciale.
Si, en régime de changes fixes, le gouvernement choisit d’atteindre le niveau de production "structurel" sans dévaluation afin de sortir d’une récession,
le niveau des prix diminue.
le taux de change réel reste stable tout au long du processus d’ajustement.
la courbe d’offre globale se déplace vers le bas, ce qui conduit à une baisse du taux de change réel et à une augmentation de la production.
Dans IS-LM, à dépenses publiques et offre de monnaie inchangées, une hausse des impôts
n’a pas d’effet sur Y si LM est horizontale.
fait déplacer l’économie le long de la courbe LM.
déplace la courbe IS vers la droite.
En présence d’une expansion budgétaire, si la banque centrale veut éviter une augmentation du taux d’intérêt, elle doit
émettre de nouveaux titres.
réduire l’offre de monnaie.
acheter des titres sur les marchés financiers.
Dans le modèle AS-AD, il existe un point où le niveau de production équivaut au niveau de production naturel et où les prix observés sont égaux aux prix anticipés.
Ce point est toujours à l’intersection entre la courbe AD et courbe AS.
Ce point se trouve toujours sur la courbe AD, et pas toujours sur la courbe AS.
Ce point se trouve toujours sur la courbe AS, et pas toujours sur la courbe AD.
Le taux de chômage structurel
ne varie pas au cours du temps.
est une fonction décroissante du pouvoir de marché des firmes.
n’est pas affecté par les politiques de la demande.
Un investisseur peut choisir de placer ses fonds en Allemagne à 1% ou aux Etats-Unis à 2%. S’il n’y a pas de différence de risque de défaut et que cet investisseur anticipe une dépréciation de l’Euro de 1%,
il préfère placer ses fonds en Allemagne.
il choisit de placer ses fonds aux Etats-Unis.
il est indifférent entre placer ses fonds en Allemagne et aux Etats-Unis.
En économie ouverte, le multiplicateur est plus faible qu’en économie fermée car
une hausse du revenu étranger se traduit par une hausse des importations.
une partie de la demande supplémentaire ne s’adresse pas à des biens nationaux.
une hausse du produit entraine une hausse des exportations.
La courbe IS est plus pentue lorsque l’on prend en compte les anticipations parce que
à anticipations fixées, une variation du taux d’intérêt courant ne modifie que peu la valeur actualisée des revenus futurs
à anticipations fixées, une variation du produit courant influence plus fortement la valeur actualisée des revenus futurs.
l’investissement devient moins volatile que la consommation à moyen terme.
La demande de réserves par les banques est
d’autant plus grande que la demande de monnaie en liquide est grande.
indépendante du niveau des prix.
d’autant plus grande que la demande de dépôts à vue est grande
Le taux d’emploi est
la part de la population en âge de travailler qui a un emploi.
le pourcentage de travailleurs au sein de la population active.
le ratio de personnes ayant ou cherchant un emploi sur la taille de la population en âge de travailler.
(Cochez la réponse fausse) Le taux d’intérêt dans le pays A peut être plus élevé que le taux d’intérêt dans le pays B parce que
les marchés financiers anticipent une expansion monétaire dans le pays B.
les marchés financiers anticipent une dévaluation de la monnaie du pays A.
le risque de défaut du pays B est moins important.
La consommation
répond plus que proportionnellement à des variations du revenu courant.
peut varier alors que le revenu courant ne change pas.
est plus volatile que l’investissement.
On considère une petite économie ouverte, dont le principal partenaire commercial procède à une restriction budgétaire. A l’équilibre sur le marché des biens et services de l’économie considérée, on observe :
une diminution des exportations associée à une dégradation de la balance commerciale.
une augmentation du produit d’équilibre associée à une dégradation de la balance commerciale.
une diminution du produit d’équilibre associée à une amélioration de la balance commerciale
une diminution des importations associée à une amélioration de la balance commerciale.
La contrainte de plancher zéro :
Limite les possibilités de relance par une expansion budgétaire dans le cas où les marchés doutent de la capacité de remboursement du gouvernement
Limite les possibilités de relance par une expansion monétaire dans le cas où les anticipations d’inflation sont faibles
Peut mettre en danger un régime de change fixe dans le cas où les marchés anticipent une dévaluation
Limite les possibilités de maîtrise de l’inflation au moyen d’une contraction monétaire
On considère l’équilibre sur le marché des biens et services d’une petite économie ouverte, pour laquelle on suppose que la condition de Marshall-Lerner est respectée. Une appréciation réelle implique :
Une dégradation de la balance commerciale à court terme et une augmentation du niveau d’activité à moyen terme.
Une amélioration de la balance commerciale à court terme et une augmentation du niveau d’activité à court terme.
Une diminution de NX à court terme et une diminution du niveau d’activité à moyen terme.
Une augmentation des exportations nettes à court terme et une diminution du niveau d’activité à moyen terme.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans le modèle IS-LM, une hausse du niveau des taxes a pour conséquences :
Un déplacement de la droite IS.
Une diminution de la consommation suite à la baisse du revenu disponible
Une hausse du taux d’intérêt d’équilibre sur le marché monétaire.
Une réduction du déficit budgétaire.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) À taux d’intérêt étranger i∗ inchangé, une économie ouverte en régime de change fixe peut voir son niveau d’activité augmenter suite à :
Une politique budgétaire expansive
Une politique monétaire expansive
Une augmentation du niveau d’activité étranger Y∗
Une augmentation du revenu futur anticipé Yet+1
Dans le cadre du modèle AS-AD, en partant d’une situation où la production se situe en dessous du niveau d’activité structurel, une politique monétaire expansive :
est déconseillée car elle stimule l’inflation sans effet sur la production.
est indiquée pour stimuler la production et éviter une spirale déflationniste.
est indiquée pour éviter une spirale déflationniste mais est sans effet sur la production à court terme.
est déconseillée car elle est sans effet sur le niveau des prix et la production.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans une économie ouverte ayant adopté un régime de change flexible, une politique monétaire expansive mène à court terme à :
Une diminution du taux de change nominal à l’équilibre sur le marché des changes.
Une dépréciation réelle à l’équilibre sur le marché des changes.
Une diminution du rendement des placements domestiques à taux de change nominal inchangé.
Une attractivité accrue des placements étrangers à taux de change nominal inchangé.
A l’équilibre sur le marché des changes, le taux d’intérêt dans un pays A peut être plus élevé que le taux d’intérêt dans le pays B pour la raison suivante :
Les marchés financiers anticipent une contraction monétaire dans le pays A.
Le risque de défaut du pays A est moins important.
Les marchés financiers anticipent une dévaluation de la monnaie du pays B.
Aucune des réponses proposées n’est correcte.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans le cadre d’analyse du modèle AD-AS, une hausse du taux de mark-up entraîne à moyen terme :
Une augmentation de la masse monétaire réelle.
Une augmentation du niveau de chômage.
Un déplacement de la courbe AS vers la gauche.
Une réduction du niveau d’investissement.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans le cadre d’analyse du modèle AD-AS, les impacts du choc de la crise des subprimes de 2007-2009 sont :
Une augmentation du niveau des prix anticipé à moyen terme
Une augmentation du niveau de chômage à court terme
Un déplacement de la courbe AD vers la gauche à court terme
Un déplacement de la courbe AS vers le bas à long terme
Selon la critique de Lucas :
Les agents économiques ne modifient pas leurs comportements en fonction des politiques macroéconomiques menées.
La formation des anticipations n’est pas indépendante des changements de politique économique.
La prise en compte des anticipations implique nécessairement un multiplicateur négatif dans le cas d’une consolidation budgétaire.
A chaque nouvelle période, les agents corrigent leurs anticipations d’une fraction de l’erreur observée précédemment
Si le PIB nominal pour une année t est supérieur au PIB réel pour une année t, il est possible d’affirmer :
Que la croissance du niveau général des prix a été positive entre l’année t−1 et l’année t.
Que l’évolution du niveau d’activité réel a été négative entre l’année t−1 et l’année t.
Que le déflateur pour l’année t aura une valeur supérieure à 1.
Le PIB est une mesure certes imparfaite du niveau de bien-être des populations, mais il est erroné de prétendre :
Que le PIB ne tient pas compte du degré de pollution liée aux activités mesurées.
Que le PIB est décorrélé de la santé des habitants du pays considéré.
Que le PIB ignore la distribution des revenus.
Que le PIB ignore la contribution des activités relevant de la sphère privée (et ne faisant donc pas l’objet de transactions) à la création de valeur ajoutée.
La courbe IS est plus pentue quand on prend en compte les anticipations parce que :
à anticipations fixées, une variation du produit courant modifie fortement la valeur actualisée des revenus futurs.
l’investissement est plus volatile que la consommation.
il existe des agents contraints par les liquidités du fait de l’existence d’imperfections du marché du crédit.
à anticipations fixées, une variation du taux d’intérêt réel courant ne modifie que peu la valeur actualisée des revenus futurs.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans les modèles théoriques abordés en cours, une politique monétaire restrictive :
n’a pas d’effets redistributifs.
augmente le niveau des salaires réels à niveau de salaire nominal donné.
peut être mise en œuvre au moyen d’une opération de vente de titres.
est une réponse potentielle à une anticipation par les marchés de dévaluation de la monnaie d’un pays en régime de change fixe.
Dans un modèle IS-LM tenant compte des anticipations des agents :
L’impact d’une politique monétaire expansive sur l’activité économique sera nécessairement plus faible que ne le prédit le modèle IS-LM sans prise en compte des anticipations.
L’impact d’une politique budgétaire restrictive sur l’activité économique sera nécessairement plus faible que ne le prédit le modèle IS-LM sans prise en compte des anticipations.
L’impact d’une politique monétaire expansive sur l’activité économique sera nécessairement plus fort que ne le prédit le modèle IS-LM sans prise en compte des anticipations.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Une économie ouverte présentant un solde de balance courante positif :
A nécessairement un solde de balance des paiements nul.
A nécessairement un solde de balance des capitaux négatif.
A nécessairement une capacité de financement excédentaire.
A nécessairement une balance commerciale NX excédentaire.
Dans le modèle IS-LM sans anticipations et en économie fermée :
Une variation du taux de taxation influence la consommation et entraine un déplacement de l’équilibre le long de la courbe IS.
Une variation de la consommation suite à une variation du taux d’intérêt entraîne un déplacement de la courbe IS
Une variation des investissements suite à une variation du taux d’intérêt entraine un déplacement de l’équilibre le long de la courbe IS.
Une variation des dépenses publiques entraine un déplacement de l’équilibre le long de la courbe IS.
Une économie ouverte dont l’épargne macroéconomique domestique excède les dépenses d’investissement :
“Importe” une partie de son épargne du reste du monde, ce qui implique un solde de balance des capitaux positif.
Présente une capacité de financement excédentaire, ce qui implique un solde de balance des capitaux négatif.
Présente un déficit de capacité de financement, ce qui implique un solde de balance des capitaux positif.
“Exporte” une partie de son épargne vers le reste du monde, ce qui implique un solde de balance des capitaux positif.
En comptabilité nationale, la différence entre les biens produits une année et les biens achetés une année est égale :
Aux exportations nettes
A la différence entre demande intérieure et demande intérieure de biens nationaux
A la variation de stocks
A la différence entre PIB réel et PIB nominal
En utilisant l’optique “revenus”, le PIB :
est égal à la somme des profits des entreprises commerciales actives dans le pays considéré.
est égal à la somme des profits des entreprises commerciales, des salaires payés par le secteur privé et des revenus professionnels des indépendants résidents du territoire considéré, et incorpore également les rémunérations versées par le secteur public et le secteur non marchand dans le pays considéré.
est égal à la somme des profits des entreprises commerciales, des salaires payés par le secteur privé et des revenus professionnels des indépendants ayant la nationalité du territoire considéré.
est égal à la somme des profits des entreprises commerciales, des salaires payés par le secteur privé et des revenus professionnels des indépendants résidents du territoire considéré.
Dans le modèle IS/LM enrichi des anticipations tel que vu au cours, l’investissement du secteur privé dépend notamment de Y. Comment ce lien est-il expliqué ?
Quand Y augmente, les bénéfices augmentent, et donc les investissements augmentent également
Les investissements sont tributaires des anticipations relatives à l’activité future, qui sont influencées par le niveau actuel de l’activité.
Quand Y augmente, les recettes fiscales augmentent, ce qui fait diminuer les taux d’imposition et donc augmenter la rentabilité de l’investissement.
Quand Y augmente, le chômage baisse, les salaires augmentent et les entreprises “remplacent des humains par des machines”.
Le modèle IS/LM est un modèle dit keynésien, en ce sens qu’il suppose un sous-emploi des facteurs de production. Cela signifie :
qu’une baisse de la taille de la population active peut être sans effet direct sur le niveau d’activité.
qu’il est toujours considéré comme approprié d’augmenter le déficit public (écart entre T et G).
qu’il est toujours considéré comme approprié d’augmenter les investissements.
qu’il est toujours considéré comme approprié d’augmenter les salaires.
Dans le modèle AS/AD en économie fermée, quel effet a une politique d’augmentation des dépenses publiques à moyen terme ?
Elle augmente le niveau de l’activité, que nous partions initialement d’une situation d’équilibre, de sous-activité ou de surchauffe.
Elle augmente le niveau de l’activité, sauf si nous partions initialement d’une situation de surchauffe.
Elle est sans effet sur le niveau de l’activité si nous partions d’une situation d’équilibre.
Elle est sans effet sur le niveau de l’activité, indépendamment de la situation de départ.
Le marché du travail en Belgique est caractérisé par deux traits spécifiques : l’indexation automatique des salaires et, depuis 1996, la “norme salariale” qui fixe un maximum autorisé à la hausse des salaires (renégocié tous les deux ans). Ce plafonnement de la hausse des salaires est entre autres justifié par :
le souci de ne pas voir les exportations (qu’une hausse plus importante des salaires rendrait moins attractives) diminuer, alors que les importations seraient inchangées.
le souci de ne pas voir les importations augmenter au détriment de la production locale (qu’une hausse plus importante des salaires rendrait moins attractive), alors que les exportations seraient inchangées.
le double souci de ne pas voir les importations augmenter au détriment de la production locale, et les exportations diminuer.
aucune des propositions n’est correcte.
Afin de maximiser l’impact sur le niveau d’activité d’un soutien budgétaire gouvernemental en période de récession, qu’est-il préférable de faire d’après le modèle IS-LM enrichi des anticipations ?
cibler l’aide sur les ménages faisant face à des contraintes de liquidité.
cibler l’aide sur les ménages qui ont subi en montants absolus la plus grande perte de revenus.
répartir l’aide de manière uniforme, en termes de montants absolus, sur l’ensemble des ménages.
annoncer que le soutien budgétaire va être compensé par une politique d’austérité dès la sortie de crise.
Quel impact aura une augmentation des taux d’intérêt futurs anticipés sur l’investissement des entreprises ?
Cela nuit à l’investissement car c’est la résultante d’une augmentation future de l’inflation, ce qui est néfaste pour les profits futurs.
Cela stimule l’investissement car des taux d’intérêt futurs plus élevés signifient des rendements futurs plus élevés.
Cela stimule l’investissement car c’est la résultante d’attentes plus élevées en matière de croissance économique, et donc annonciateur d’une meilleure rentabilité des investissements.
Cela nuit à l’investissement car cela réduit la valeur actualisée des profits futurs.
La courbe de Phillips “traditionnelle” décrit :
une relation positive entre l’inflation et le taux de chômage.
une relation négative entre l’inflation et le taux de chômage.
une relation négative entre la variation du taux d’inflation et le taux de chômage.
aucune des propositions ci-dessus n’est correcte.
(Cochez la réponse fausse) Quand LM est horizontale, une expansion budgétaire:
requiert une augmentation de l’offre de monnaie.
entraine un déplacement de LM vers le bas.
aura plus d’effet sur la production que lorsque LM est croissante.
mène à une augmentation de l’investissement.
(Cochez la réponse fausse) Une dépréciation réelle entraine nécessairement :
une diminution des importations en volume.
une augmentation des exportations en volume.
une diminution de la facture des importations.
une détérioration de la balance commerciale à court terme.
La courbe IS est plus pentue lorsque l’on prend en compte les anticipations parce que :
à anticipations fixées, une variation du taux d’intérêt courant ne modifie que peu la valeur actualisée des revenus futurs.
l’investissement est plus volatile que la consommation à moyen terme.
la valeur actualisée des revenus futurs dépend du taux d’intérêt réel et pas du taux d’intérêt nominal.
En économie ouverte à l’équilibre, si la balance courante est positive alors :
l’investissement est inférieur à la somme de l’épargne privée et publique.
la capacité de financement du pays considéré est négative.
l’investissement est égal à la somme de l’épargne privée et publique.
la balance des capitaux du pays considéré est positive.
Le taux de chômage structurel :
n’est pas affecté par les politiques d’assurance-chômage.
ne peut pas varier au cours du temps.
n’est pas affecté par les politiques macroéconomiques de soutien de la demande.
Dans WS-PS, des allocations chômage plus généreuses
entrainent une baisse du taux de chômage structurel.
réduisent le nombre de travailleurs.
se traduisent, à l’équilibre, par un salaire réel plus faible.
augmentent la taille de la population active.
Dans le modèle IS-LM, la prise en compte des anticipations des agents relatives au niveau d’activité et à la fiscalité modife :
la relation LM, mais pas la relation IS.
la relation IS, mais pas la relation LM.
les relations IS et LM.
la relation IS, et la relation LM dans le cas où la courbe LM est croissante.
(Cochez la réponse fausse) Des pays forment une zone monétaire optimale si
ils sont soumis aux mêmes chocs macroéconomiques.
ils ont une forte mobilité des facteurs de production, qui leur permet de s’ajuster aux chocs asymétriques.
ils adoptent une monnaie unique, et choisissent donc la même politique monétaire.
ils ont adopté des mécanismes de solidarité fiscale, qui leur permettent de s’ajuster aux chocs asymétriques.
Un investisseur américain peut choisir de placer ses fonds au Japon à 1.1% ou aux états-Unis à 2.3%. S’il n’y a pas de différence de risque de défaut entre les deux pays et que cet investisseur anticipe une appréciation du Dollar de 1.2% par rapport au Yen :
l’investisseur choisit de placer ses fonds aux États-Unis.
l’investisseur préfère placer ses fonds au Japon.
l’investisseur est indifférent entre placer ses fonds au Japon et aux États-Unis.
il n’est pas possible de répondre sans avoir plus d’informations quant au régime de change pratiqué par le Japon.
(Cochez la réponse fausse) La relation de parité non couverte des taux d’intérêt ne prend pas en compte
les différences de fiscalité en termes de placements.
les coûts de transaction.
le risque de change.
les anticipations.
Dans le modèle de Mundell-Fleming, avec LM horizontale, une diminution des impôts (à dépenses publiques inchangées) :
fait augmenter le taux d’intérêt nominal et le taux de change.
augmente la consommation et diminue les exportations nettes.
augmente l’investissement et fait s’apprécier la monnaie nationale.
aucune des propositions ci-dessus n’est exacte.
Dans un pays donné, la population active est constituée
des personnes qui travaillent et des chômeurs.
des personnes qui travaillent.
de l’ensemble des personnes en âge de travailler.
de l’ensemble des personnes en âge de travailler, à l’exclusion des chômeurs.
Comment sont considérées respectivement une politique de relèvement des minima sociaux et une politique de promotion de la concurrence ?
les deux comme relevant de la demande.
la première comme relevant de l’offre et la seconde de la demande.
la première comme relevant de la demande et la seconde de l’offre.
les deux comme relevant de l’offre.
Dans le calcul du revenu intérieur brut, les transferts reçus par les ménages au travers de la sécurité sociale (choisissez la réponse la plus précise) :
Sont pris en compte
Sont pris en compte, mais diminution faite des taxes sur le revenu éventuellement à payer sur ces transferts.
Sont pris en compte en partie (ainsi, les retraites et le chômage oui, car revenus dits de remplacement, mais pas les allocations familiales).
Ne sont pas pris en compte.
En Belgique, les salaires sont indexés sur l’inflation telle que mesurée par l’indice santé, qui exclut certains produits. Cet indice santé, en Belgique exclut (choisissez la réponse correcte la plus précise) :
Les produits de tabac, les boissons alcoolisées et l’électricité.
Les produits de tabac, les boissons alcoolisées et tous les produits énergétiques.
Les produits de tabac, les boissons alcoolisées, tous les produits énergétiques et les “soft drinks”
Les produits de tabac, les boissons alcoolisées et les carburants.
Par rapport à la fin 2021, les taux d’intérêt ont augmenté et la valeur des actions a baissé. Selon le modèle vu au cours, ces 2 évolutions sont de nature à :
stimuler la demande de monnaie au sens strict.
à la fois stimuler et limiter la demande de monnaie au sens strict, sans pouvoir dire le sens de l’effet net.
limiter la demande de monnaie au sens strict.
laisser la demande de monnaie au sens strict inchangée.
Certains voient dans la résurgence récente de l’inflation un effet de l’augmentation de l’offre de monnaie, une perception largement critiquée. Mais, dans un pays, qui crée de la monnaie au sens large ?
La Banque centrale et les établissements de crédit (banques).
Uniquement la Banque centrale.
Uniquement les établissements de crédit (banques).
La Banque centrale, les établissements de crédit (banques) et l’agence nationale en charge de la gestion de la dette publique (l’ensemble des agences ayant cette compétence dans les Etats fédéraux).
Dans une économie fermée, avec la relation IS de base, on arrive à une égalité comptable telle que le déficit budgétaire :
est égal à l’épargne privée.
est égal à l’épargne privée diminuée des investissements privés.
est égal à l’épargne privée diminuée des investissements privés et publics.
est égal à l’épargne privée augmentée des investissements privés.
Sur la base du modèle vu au cours, une politique de contraction budgétaire aura, toutes choses étant égales par ailleurs, un effet de compression de l’activité économique :
plus marqué si elle s’opère via une baisse des dépenses publiques que via une hausse des impôts.
identique, qu’elle s’opère via une hausse des impôts ou une baisse des dépenses publiques.
plus marqué si elle s’opère via une hausse des impôts que via une baisse des dépenses publiques.
aucune des autres réponses n’est correcte, car le modèle ne permet pas de comparer l’effet multiplicateur entre dépenses publiques et impôts.
Pour mener sa politique, la Banque centrale dispose d’un certain nombre d’outils, mais en vue de préserver sa crédibilité, elle ne peut pas “faire tout et n’importe quoi”. Ainsi, la Banque centrale telle que caractérisée au cours :
Ne peut jamais acquérir des titres libellés en d’autres devises que celle du pays.
Ne peut jamais acquérir des titres émis par les pouvoirs publics.
Ne peut jamais acquérir des titres émis par des entreprises privées.
Aucune des 3 autres réponses n’est correcte.
Il est largement question d’une pénurie généralisée de main-d'œuvre dans certains pays, dont les Etats-Unis, avec plus d’emplois vacants que de chômeurs. Selon la logique économique telle que modélisée au cours, si le nombre de vacances dépasse l’offre de travail disponible, cela devrait conduire à :
Des augmentations de salaires plus fortes.
Une augmentation des investissements de remplacement du facteur travail par des machines.
Une augmentation de la consommation publique, vu que celle-ci inclut le coût des programmes de formation telles celles dispensées par le FOREM.
A la fois une augmentation des investissements de remplacement du facteur travail par des machines et une augmentation de la consommation publique.
Dans le contexte actuel d’inflation plus forte, et sur la base du modèle AS/AD, les banques centrales ont-elles à se préoccuper de l’évolution des attentes d’inflation dans le chef des agents économiques ? (Choisissez la réponse la plus précise)
Non, car l’inflation est uniquement fonction du taux de mark-up.
Oui, si c’est une inflation qui est provoquée par une dépréciation du taux de change.
Non, si c’est une inflation qui est provoquée par une dépréciation du taux de change.
Oui, car les attentes d’inflation influencent les coûts de production via les salaires et donc les prix
Dans le contexte actuel où la hausse des prix inquiète, selon le modèle AS/AD, dans une perspective de moyen terme et en partant d’une situation d’équilibre, les pouvoirs publics pourraient-ils être enclins à envisager d’augmenter les taxes ?
Non, car à moyen terme augmenter les taxes élève les prix.
Oui, car à moyen terme augmenter les taxes fait baisser les prix sans nuire à l’activité.
Oui, car à moyen terme augmenter les taxes accroît l’activité sans élever les prix.
Non, car à moyen terme augmenter les taxes conduit à un moindre niveau d’activité.
Actuellement, et malgré un abaissement des perspectives conjoncturelles, le taux de chômage est relativement bas dans les pays industrialisés. Selon le modèle de la courbe de Phillips originelle, le faible taux de chômage devrait-il tirer le taux d’inflation à la hausse ? (Choisissez la réponse la plus précise)
Non, car le taux de chômage est sans effet sur l’inflation.
Non, car c’est la variation du taux de chômage qui importe.
Oui.
Non, car les imperfections méthodologiques dans la mesure du chômage rendent ce paramètre non pertinent.
Dans les pays industrialisés, au cours des 12 derniers mois, les taux d’intérêt nominaux, tant à court qu’à long terme, ont eu tendance à augmenter. Sur la base du modèle IS-LM étendu, une telle hausse est-elle problématique pour l’activité économique ?
Non.
Cela dépend de l’évolution de l’inflation anticipée.
Cela dépend de l’évolution de l’inflation observée.
Au cours des 12 derniers mois, le dollar s’est apprécié à l’égard de l’euro et de l’ensemble des autres monnaies. La relation de parité non couverte des taux d’intérêt, telle que vue au cours, explique cette appréciation par :
La moindre exposition de l’économie américaine aux tensions géopolitiques.
Le plus grand dynamisme entrepreneurial américain.
Une politique budgétaire américaine plus expansionniste.
Aucune des 3 autres réponses proposées n’est correcte.
En période de creux conjoncturel, est-il pertinent de mener une politique contracyclique de soutien au pouvoir d’achat qui soit ciblée sur les ménages à moindres revenus ? (Choisissez la réponse la plus précise)
Oui, car ces ménages modestes traduiront une part très importante de leur augmentation de revenus en consommation plutôt qu’en épargne.
Non, car vu la faiblesse de leur épargne, ils sont moins touchés par la baisse de la valeur du patrimoine qui accompagne un creux conjoncturel.
Non, car vu la faiblesse de leur épargne, ce ne sont pas eux qui vont financer une reprise de l’investissement.
Non, car vu la faiblesse des impôts qu’ils paient, cela revient plus cher aux pouvoirs publics (moindre effet-retour sur les finances publiques).
L’euro est à son plus bas face au dollar depuis 20 ans, a-t-on récemment entendu. En supposant la condition de Marshall-Lerner satisfaite, cela va affecter le solde commercial entre Zone Euro et Etats-Unis dans le sens suivant :
Statu quo des exportations nettes de la Zone Euro.
Augmentation des exportations nettes de la Zone Euro.
Baisse des exportations nettes de la Zone Euro.
Indétermination quant à l’évolution des exportations nettes de la Zone Euro.
Le gouvernement fédéral belge s’est fixé pour objectif d’élever le taux d’emploi à 80%. Fixer un tel objectif quantitatif se heurte à des critiques. Laquelle des critiques suivantes est a priori infondée :
Si une personne en âge de travailler choisit de ne pas travailler, elle détériore le taux d’emploi sans que ce soit un problème.
L’autorisation donnée aux personnes qui ont dépassé l’âge de travailler de rester actives sur le marché du travail améliore le taux d’emploi, alors que cela peut traduire un problème de retraite trop basse pour vivre dignement.
Si 2000 emplois à temps pleins deviennent 2001 emplois à mi-temps involontaires, le taux d’emploi s’améliore, alors que le bien-être collectif a diminué.
Une augmentation du nombre de personnes en âge de travailler qui suivent une formation réduit le taux d’emploi, alors que cela peut être une bonne chose pour l’épanouissement individuel et le potentiel productif futur de l’économie.
Dans un pays comme la Belgique, par rapport à la situation il y a 12 mois, les taux d’intérêt sont plus élevés. Ces taux d’intérêt plus élevés augmentent le revenu disponible des agents disposant de dépôts bancaires. Dans le modèle IS-LM tel que vu au cours, l’impact d’un tel effet revenu :
détermine le sens de l’effet du taux d’intérêt sur la consommation privée.
influence le sens de l’effet du taux d’intérêt sur la consommation privée mais s’oppose à un autre effet, de telle sorte que le modèle ne suppose pas de lien clair entre taux d’intérêt et consommation privée.
est dominé par un autre effet agissant en sens contraire, de telle sorte que le modèle suppose un sens opposé pour le lien entre taux d’intérêt et consommation privée.
est considéré comme impossible.
Nous vivons dans un monde où les capitaux circulent très facilement entre pays industrialisés. Selon Mundell, cette mobilité :
impose d’accepter l’instabilité du taux de change.
impose de voir la politique nationale de taux d’intérêt être influencée par l’étranger.
impose de voir la politique nationale de taux d’intérêt être dictée par l’étranger.
aucune des 3 autres réponses proposées n’est correcte.
a un effet faible mais positif sur 𝑁𝑋 à court terme.
n’aura d’impact sur la balance commerciale qu’à long terme.
une diminution des exportations et une amélioration de la balance commerciale.
une diminution du produit d’équilibre et une dégradation de la balance commerciale
une augmentation du produit d’équilibre et une dégradation de la balance commerciale.
une diminution des importations et une amélioration de la balance commerciale.
Pour une Banque Centrale, la “contrainte de plancher zéro”:
Une diminution de 𝑁𝑋 à court terme et une diminution du niveau d’activité à moyen terme.
Une amélioration de la balance commerciale à court terme et une augmentation du niveau d’activité à moyen terme.
Une diminution des exportations nettes à court terme et une augmentation du niveau d’activité à moyen terme.
Une augmentation de 𝑁𝑋 à court terme et une diminution du niveau d’activité à moyen terme
En présence d’une expansion budgétaire, si la banque centrale veut maintenir le taux d’intérêt à son niveau objectif 𝑖¯, elle doit :
vendre des titres sur les marchés nanciers.
acheter des titres sur les marchés nanciers.
veiller à ce que l’offre de monnaie reste inchangée.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) A taux d’intérêt étranger 𝑖∗ inchangé, une économie ouverte en régime de change fixe peut voir son niveau d’activité augmenter suite à :
Une augmentation du niveau d’activité étranger 𝑌∗
Une augmentation du revenu futur anticipé 𝑌𝑒𝑡+1
est déconseillée car elle stimule l’inflation sans effet sur la production à court terme.
est déconseillée car elle est sans effet sur le niveau des prix et la production à court terme.
est indiquée pour stimuler la production à court terme et éviter une spirale déflationniste.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans le cadre d’analyse du modèle AD-AS, une hausse du taux de mark-up entraîne :
Un niveau d’activité inchangé à moyen terme.
Une augmentation du niveau de chômage à moyen terme.
Un déplacement de la courbe AS vers la gauche à moyen terme.
Une réduction du niveau d’investissement à moyen terme.
En supposant que la condition de Marshall-Lerner est respectée, la courbe en J implique qu’une dévaluation :
a un effet faible mais positif sur 𝑁𝑋 à court terme
a un effet positif sur les exportations à court terme.
(Sélectionnez la réponse fausse parmi les propositions ci-dessous) Dans le cadre d’analyse du modèle AD-AS, les impacts du choc de la crise des sub-primes de 2007-2009 sont :
Une augmentation du niveau des prix anticipé à court terme
Les agents économiques ne modifient pas leurs comportements en fonction des politiques macroéconomiques menées
A chaque nouvelle période, les agents corrigent leurs anticipations d’une fraction de l’erreur observée précédemment.
Dans le modèle WS/PS, une diminution de l’indemnisation du chômage induit-elle un taux de chômage structurel plus faible ?
Oui, sauf s’il survient une hausse de l’intensité concurrentielle entre entreprises suffisamment forte pour compenser ce mouvement.
Oui, sauf s’il survient une baisse de l’intensité concurrentielle entre entreprises suffisamment forte pour compenser ce mouvement.
Oui, quelle que soit la variation de l’intensité concurrentielle entre entreprises.
Non, le taux de chômage structurel ne dépend des indemnisations du chômage qu’à anticipations d’inflation nulles.
La demande de réserves par les banques est :
indépendante de l’allocation de la demande de monnaie entre espèces et dépôts à vue.
d’autant plus grande que la demande de dépôts à vue est grande.
d’autant plus grande que la demande de monnaie en espèces est grande.
En économie ouverte, le multiplicateur est plus faible qu’en économie fermée car:
le revenu des principaux partenaires commerciaux a un impact sur la balance commerciale.
une augmentation des dépenses gouvernementales détourne une partie des biens nationaux jusqu’alors dédiés aux exportations.
une hausse du niveau d’activité entraîne une hausse des exportations.
une partie de la demande supplémentaire en cas de hausse du niveau d’activité ne s’adresse pas à des biens nationaux.
doit être mise en œuvre en régime de change fixe en cas de diminution du taux d’intérêt étranger 𝑖∗
Il est possible que suite à un choc macroéconomique, ce point ne se trouve ni sur la courbe AS ni sur la courbe AD.
Une variation des taxes influence la consommation et entraine un déplacement de l’équilibre le long de la courbe IS.
Une variation de la consommation suite à une variation du taux d’intérêt entraîne un déplacement de la courbe IS.
Présente un déficit de capacité de financement, ce qui implique un solde de balance des capitaux négatif.
En comptabilité nationale, la différence entre les biens domestiques produits une année et les biens domestiques achetés une année est égale :
A la variation de stocks.
Aux exportations nettes.
A la différence entre demande intérieure et demande intérieure de biens nationaux.
A la différence entre PIB réel et PIB nominal.
Supposons que le gouvernement augmente les impôts pour réduire le déficit budgétaire. En se basant sur le modèle ISLM, et en supposant que la banque centrale maintienne le taux d’intérêt fixe, que peut-on en déduire ?
Les dépenses d’investissement vont augmenter
Les dépenses d’investissement vont diminuer
Les dépenses d’investissement peuvent augmenter, diminuer ou ne pas changer
Et si on suppose maintenant que la banque centrale laisse le taux d’intérêt varier (LM croissante), quel est l’impact d’une baisse des impôts sur l’investissement ?
Dans le modèle IS-LM : (Question examen août 2016)
Une variation du taux d’intérêt entraîne un déplacement le long de la courbe IS
Une variation des taxes influence la consommation et entraîne un déplacement de l’économie le long de la courbe IS
Une variation des dépenses publiques entraîne un déplacement de l’économie le long de la courbe IS
Dans le modèle IS-LM, et en supposant que la banque centrale maintienne le taux d’intérêt fixe, une diminution de la pression fiscale a pour effet : (Question examen janvier 2016)
Une croissance de la consommation, ce qui permet un niveau de production plus élevé
Une réduction des dépenses publiques, ce qui fait baisser le niveau de production de l’économie
Une augmentation de la production et une baisse du taux d’intérêt
Dans le modèle IS-LM, et en supposant que la banque centrale maintienne le taux d’intérêt fixe, après une baisse de la pression fiscale, nous avons :
Une réduction de la demande de monnaie, une augmentation de la demande de biens et donc une augmentation de la production
Une hausse de la production, une hausse de la demande de monnaie et une augmentation de l’offre de monnaie par la Banque Centrale
Une hausse de la demande de monnaie suite à l’augmentation de la production, et donc une réduction de l’offre de monnaie par la Banque Centrale
Dans le modèle WS-PS, la droite PS : (Question examen août 2016)
est horizontale car le taux de chômage n'a pas d'impact sur la détermination des prix des entreprises
est décroissante car le taux de chômage impacte les salaires réels négociés
est horizontale car la marge des entreprises n'a pas d'impact sur les salaires négociés
Dans le modèle WS-PS, une diminution des allocations de chômage : (Question examen août 2016)
augmente le pouvoir de négociation des travailleurs
conduit à une diminution du salaire réel d'équilibre
pousse la production structurelle à augmenter
(Cochez la réponse fausse) Une hausse du taux de chômage structurel peut être expliquée par : (Question examen janvier 2016)
un relâchement du droit de la concurrence
le progrès technologique
une hausse des allocations de chômage
Supposons que, au taux d’intérêt actuel, l’offre de monnaie soit inférieure à la demande de monnaie. Sachant cela, on sait que :
le prix des titres va tendre à diminuer
l’offre de titres est égale à la demande de titres.
le prix des titres va tendre à augmenter.
le marché monétaire est à l’équilibre.
Si la Banque Centrale n’a pas de cible de taux d’intérêt à satisfaire, quelle évolution parmi les suivantes, entraîne une hausse du taux d’intérêt ?
Un achat de titres par la Banque centrale, dans le cadre d’une opération d’open market.
Une hausse de l’offre de monnaie.
Une hausse du revenu.
Une baisse du revenu.
(Cochez la réponse fausse) Quand la monnaie inclut les espèces et les dépôts à vue, le taux d’intérêt d’équilibre est tel que : (Question examen août 2016)
L’offre de monnaie Banque centrale est égale à la demande de monnaie multipliée par le multiplicateur monétaire.
L’offre H de monnaie Banque Centrale est égale à la demande de monnaie divisée par le multiplicateur monétaire.
L’offre et la demande de monnaie sont égales.
Si les dépenses publiques et les impôts se réduisent simultanément et du même montant, la courbe IS : (Question examen août 2016)
ne se déplace pas
se déplace vers la gauche
se déplace vers la droite
Dans le modèle de la droite IS, laquelle des variables suivantes est-elle exogène ?
la consommation (C)
les dépenses gouvernementales (G)
l'investissement (I)
l'épargne (S)
Supposons que le marché des biens et services soit à l'équilibre. Si les recettes fiscales sont supérieures aux dépenses publiques, alors :
I > S
1 < S
(T - G) < 0
I > S + (T - G)
Quelle évolution entraîne un déplacement vers le bas de la courbe d'offre globale à court terme ?
Une augmentation de la marge du prix fixé par les entreprises sur les coûts p.
Une augmentation des indemnités d'assurance chômage.
Une réduction de l'offre de monnaie.
Aucune réponse n'est correcte.
Lorsque le niveau des prix est égal au niveau anticipé des prix :
Il y a une tension déflationniste.
La production est égale à son niveau naturel.
Le taux de chômage est égal à zéro.
Dans la relation de demande globale, une augmentation du niveau des prix entraîne une baisse du produit en raison de son effet sur :
Le salaire nominal.
Les dépenses publiques.
La quantité réelle de monnaie
Supposons que la production soit initialement égale à son niveau naturel. Quel est l'effet de court terme d'une politique monétaire expansionniste ?
Une baisse du taux d'intérêt.
Une baisse du chômage.
Une hausse des prix.
Toutes ces réponses sont correctes.
(Cochez la réponse fausse) Dans AS-AD, une révision à la baisse des anticipations de prix entraîe à court terme :
Une diminution des salaires nominaux négociés
Un déplacement le long de la courbe AD
Une baisse de la production
La prise en compte des anticipations dans la théorie de la consommation pronostique que, suite à une augmentation du revenu courant des ménages, la consommation de ceux-ci :
augmentera plus que sans la prise en compte des anticipations.
augmentera moins que sans la prise en compte des anticipations.
augmentera autant que sans la prise en compte des anticipations.
Quand on introduit les anticipations dans le modèle du marché des biens, la courbe IS est toujours décroissante
mais devient plus horizontale.
mais devient plus verticale.
et ne change pas de pente.
Dans le modèle IS-LM avec anticipations, une diminution du taux d’intérêt anticipé a pour conséquence :
Un déplacement de la droite IS vers la droite
Un déplacement de la droite IS vers la gauche
Un déplacement le long de la droite IS
Le taux de change réel se définit comme :
Le prix des obligations étrangères exprimé en unités d’obligations domestiques.
Le prix des biens étrangers exprimé en unités de biens domestiques.
Le prix de la monnaie étrangère exprimé en unités de monnaie domestique.
Aucune réponse n’est correcte.
La condition de parité des taux d’intérêts en taux de change fixe est :
une relation basée sur le taux d’intérêt national, le taux d’intérêt étranger, le taux de change et le taux de change anticipé.
une relation basée sur le taux d’intérêt national, le taux de change et le taux de change anticipé.
une relation basée sur le taux d’intérêt national et le taux d’intérêt étranger
En taux de change fixe,
la banque centrale abandonne la politique monétaire comme instrument de la politique macroéconomique.
la banque centrale peux toujours influencer indirectement le niveaux d’investissement avec sa politique monétaire.
l’économie étrangère n’a pas aucun effet sur l’économie nationale.
Une augmentation des dépenses publiques par le gouvernement en taux de change fixe :
n’aura aucun effet sur la banque centrale.
force la banque centrale à augmenter l’offre de monnaie.
force la banque centrale à réduire l’offre de monnaie.
En régime de taux de change fixe :
une augmentation des prix étrangers augmente le taux de change nominal.
une augmentation des prix nationaux augmente le taux de change réel.
le taux de change réel peut changer.
La relation négative entre P et Y dans AD en économie ouverte et taux de change fixe :
s’explique de la même façon qu’en économie fermée.
est liée à la politique monétaire et la politique budgétaire.
est liée à la compétitivité des entreprises dans la production de biens nationaux.
Une dévaluation du taux de change nominal :
entraine un déplacement de AD vers la droite.
entraine un déplacement de AD vers la gauche.
augmente la pente de la courbe AD.
Si des investisseurs anticipant soudainement une dévaluation sévère dans un pays qui s'est engagé à maintenir un taux de change fixe,
la banque centrale augmentera sa réserve de devises étrangères.
ils peuvent provoquer une crise.
les investisseurs achèteront une grande quantité de devise nationale.
