"En une semaine, elle m'avait habillée avec goût et appris à vivre" (page
15)
chère
"Anne Larsen était une ancienne amie de ma pauvre mère" (page 15)
"le souvenir de ma mère et mes efforts (Anne), car, si elle m'intimidait, je l'admirais beaucoup." (page
16)
expérimentée
"Vous vous faites de l'amour une idée un peu simpliste. Ce n'est pas une
suite de sensations indépendantes les unes des autres... c'est autre chose,
disait Anne. Il y a la tendresse constante, la douceur, la manque..." (page 40)
pétillante
"Elle portait une robe grise, d'un gris extraordinaire,
presque blanc, où la lumière s'accrochait, comme, à l'aube,
certaines teintes de la mer. Tous les charmes de la
maturité semblaient réunis en elle, ce soir-là." (Page 47)
" 'Ma fille trouvera toujours des hommes pour la faire vivre', dit mon père
noblement... 'Il faut qu'elle travaille, ces vacances', dit Anne en refermant
les yeux pour clore l'entretien." (page 34)
condescendante
" 'Viens ici, mon chat', dit mon père... je n'étais effectivement
pour eux qu'un chat, un petit animal affectueux." (page 56)
En ce moment, Raymond est complètement amoureux avec
Anne; il s'ensuite qu'il se comporte comme elle. Donc,
Cécile comprend que ses pensons vont mieux avec Anne.
"mon père, si obstinément opposé au mariage, aux chaînes, en
une nuit décidé... Cela changeait toute notre vie." (page 55)
L'usage de le mot "obstinément" accentue l'improbabilité que Raymond
change. En usant "une nuit", Cécile nous fait croire qu'Anne est si puissant
que Raymond peut changer immédiatement. En plus, on comprend que la
modification est bouleversée pour Cécile, grâce a l'intensif "toute"
innocente, aimable, naïve
"je compris brusquement que je m'étais attaquée un être vivant et
sensible et non pas à une entité... elle aimait un homme et avait espéré
être heureuse" (page 144)