PS 19 Réactance livre + séminaire

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Hanna Schumacher
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Hanna Schumacher
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Resumo de Recurso

Questão Responda
Quelle est la définition de la réactance selon Brehm (1966)? La réactance est un ETAT EMOTIONNEL, activé lorsqu'un comportement "libre" est éliminé ou menacé de l'être, et qui vise à la restauration de cette liberté.
Qu'est-ce qu'un "comportement libre" selon la définition de la réactance selon Brehm? C'est un comportement réellement accessible dans lequel un individu peut s'engager à un moment ou à un autre.
Selon la théorie de la réactance (Brehm 1966), l'AMPLEUR de la réactance est fonction de trois facteurs. Quels sont-ils? La réactance est fonction de: 1. L'IMPORTANCE du comportement éliminé ➙ a. Importance unique (de CE comportement pour CET individu) et b. Importance relative (par rapport aux autres comportements disponibles). 2. La PROPORTION du/des comportement libre éliminé. 3. Si il y a menace, l'AMPLEUR de la menace.
Peut-on évaluer directement la réactance? Quelles sont les conséquences comportementales de la réactance? On ne peut pas l'évaluer directement, on regarde le comportement qu'elle engendre. Les conséquences comportementales sont: 1. La réévaluation de l'objet ou du comportement menacé. 2. L'influence négative ou l'effet boomerang (diminution de l'influence positive).
Comment doit être la menace pour qu'elle soit perçue par le sujet et qu'elle engendre un sentiment de réactance? Elle n'a pas besoin de lui être adressée directement. Sa simple observation ou même l'élimination du comportement menacé chez une autre personne peut suffire à engendrer le sentiment de réactance.
Le recouvrement de la liberté en situation de réactance peut se faire de deux façons, lesquelles? 1. De façon directe: en s'engageant dans le comportement menacé. 2. De façon indirecte, par "implication": en activant un comportement relié à celui éliminé ou par l'engagement d'une autre personne dans le comportement menacé.
1. IMPORTANCE DE LA MENACE:(seulement) Décrire l'expérience de Brehm et Weiner (1966) sur le taux d'achat du pain X (sans résultats)? Sur quelle idée est basée cette expérience? Expérience basée sur la théorie que lorsque les clients perçoivent une pression à l'achat d'un produit comme une restriction à leur liberté, ils éprouvent un sentiment de réactance ➙ refus d'acheter le produit. Hommes VS. Femmes: 1. Pression faible: "Veuillez svp acheter le pain X". 2. Pression forte: "Vous allez acheter le pain X. A. Pression monétaire faible: Pain offert (+25 cts). B. Pression monétaire forte: Pain offert + bénéfice $ (+35 cts.). Les femmes achètent quand les pressions sont faibles et résistent dés qu'il y a introduction d'une pression. A l'époque les femmes se définissent plus par ce type de comportements (courses), donc refuser la pression = restaurer image positive de soi. CF : Individus en situations d'infériorité tentent de se différencier pour image positive de soi. Effet nul pour les hommes, les acheteurs moins avertis = plus influençables.
1. IMPORTANCE DE LA MENACE: Quels sont les résultats de l'expérience de Brehm et Weiner (1966) sur le taux d'achat du pain X? Que peut-on en conclure? Pour les femmes, on voit qu'elles achètent le pain X quand les deux pressions sont faibles (morale + $) mais qu'elles résistent dès que l'une des deux (ou les deux) pressions sont fortes. La théorie de la réactance se vérifie. Pour les hommes, plus la pression est élevée, plus ils achètent le pain, ce qui va à l'encontre de la théorie de la réactance. Ce que souligne cette expérience est l'importance pour l'individu du comportement menacé. Une femme connaît mieux les produits, se charge de son ménage et se définit au travers de ce rôle (à cette époque). Elle est donc plus "offensée" lorsqu'on essaie de lui enlever cette liberté car on lui enlève son IMAGE POSITIVE DE SOI, alors qu'un homme pour qui c'est égal va naturellement être influencé par la publicité.
1. IMPORTANCE DE LA MENACE: (seulement) Décrire l'expérience de Wicklund et Brehm (1968) sur une tâche consistant à barrer des lettres dans une liste (sans résultats). Cette expérience illustre aussi l'importance du comportement menacé pour l'identité de soi. Un sujet (+ compère) doit choisir une tâche: soit barrer les lettres C et N (tâche A), soit barrer D et P (tâche B) dans une liste. Condition faible importance: tâche présenté comme un sondage pour de la recherche. Condition forte importance: tâche = test de personnalité. Pression: compère propose au sujet de faire la tâche A ou B Contrôle: compère de dit rien.
1. IMPORTANCE DE LA MENACE: Décrire les résultats de l'expérience de Wicklund et Brehm (1968) sur une tâche consistant à barrer des lettres dans une liste. Que peut-on en conclure? Dans les deux conditions (condition de faible/forte importance), les sujets choisissent plutôt l'autre tâche que celles que le compère a proposée et c'est encore plus marqué quand la condition est de forte importance (= test de personnalité). Cette expérience démontre donc l'existence du sentiment de réactance ET souligne l'importance d'un comportement quand celui-ci engage directement l'identité du sujet.
1. IMPORTANCE DE LA MENACE: (seulement) Décrire l'expérience de Wicklund et Brehm (1968) sur l'importance de la réactance dans une situation où on se sent compétent (sans résultats). On demande à des sujets de juger de la qualification de candidats à un poste. Après un dépouillement fictif de leurs réponses, on dit à la moitié d'entre eux qu'ils ont correctement évalué (compétent) les candidats et à un autre groupe qu'il l'ont mal fait (incompétents). Ensuite un compère jugé compétant dit à un groupe: "il est évident que X est le meilleur" (menace forte) et à l'autre groupe: "X est le meilleur" (menace faible). Puis on redemande aux sujets d'exprimer leur évaluation des candidats au poste.
1. IMPORTANCE DE LA MENACE: Décrire les résultats de l'expérience de Wicklund et Brehm (1968) sur l'importance de la réactance dans une situation où on se sent compétent? Que peut-on en conclure? Les sujets incompétents sont plus influencés par le jugement d'un autre que les sujets compétents. Et les sujets compétent changent plus d'avis, entre la première et la deuxième mesure, quand la menace est forte que quand la menace est faible. Ceci confirme l'hypothèse de la théorie de la réactance. Ce qu'on peut en conclure est que la réactance est intimement liée à la POSITION SOCIALE que le sujet croit occuper puisque ce n'est que s'il se sent supérieur dans la tâche qu'il témoigne d'un sentiment de réactance face à une menace.
2. LA REACTANCE PUBLIQUE OU PRIVEE: (seulement) Décrire l'expérience de Brehm et Mann (1975) sur la réactance et l'attractivité des sujets (sans résultats)? Etude factice sur la prise de décision en groupe. Les sujets commencent par se présenter pour renforcer le sentiment d'appartenance au groupe. Puis ils doivent exprimer sur papier les sentiments pour les autres membres. Dépouillement fictif: la moitié des sujets croit avoir été jugée attractive, et l'autre moitié pense le contraire. Condition haute importance: si la réponse est bonne (bien jugé de l'attractivité d'un groupe selon équipe scientifique) = 10$. Condition faible importance : réponse juste = rémunération insignifiante. De plus récompense globale de 15$ à se répartir comme ils veulent. Enfin, il est exercé une pression: si les sujets acceptent de changer d'opinion (=VD), ils reçoivent de l'argent. Pour obtenir des résultats, trois mesures sont faites: 1. Mesure publique où les sujets répondent à nouveau en indiquant leur identité (avant la distribution de la récompense = saillance du groupe) 2. Mesure privée où les sujets répondent anonymement (avant la distribution de la récompense = saillance) 3. Mesure après la récompense (pas de saillance).
2. LA REACTANCE PUBLIQUE OU PRIVEE: (seulement) Décrire les résultats de l'expérience de Brehm et Mann (1975) sur la réactance et l'attractivité des sujets (sans interprétation)? En condition d'importance faible (peu $), les participants de faible attraction se rapprochent un peu de l'opinion du groupe, qu'il y ait ou non saillance du groupe (= avant et après récompense de groupe à distribuer comme on veut) ➙ "Même si je n'ai pas été jugé attractif, il y a une petite récompense alors je me rapproche bcp du groupe quand ils me voient et un peu quand ils me voient pas". En condition d'importance faible toujours, les participants de haute attraction se rapprochent beaucoup de l'opinion du groupe, qu'il y ait ou non saillance du groupe (= avant et après récompense de groupe à distribuer comme on veut) ➙ "Vu qu'ils m'ont jugé attractif et que je suis peu contraint, je vais être d'accord avec le groupe, changer d'avis". En condition de haute importance, les participants de faible attraction ont le même comportement en plus extrême PAR CONTRE les participants de haute attraction ne sont pas d'accord de changer d'opinion et s'éloignent drastiquement du groupe quand il est saillant (avant la récompense) mais pas quand il n'est pas saillant (après la récompense).
2. LA REACTANCE PUBLIQUE OU PRIVEE: Que peut-on conclure sur les résultats de l'expérience de Brehm et Mann (1975) sur la réactance et l'attractivité des sujets? Quand l'importance de la liberté est élevée (bcp $), la pression cause un effet de réactance sur les sujets se sentant très attirants pour le groupe, puisque l'attraction augmente la pression ressentie. L'effet est inverse pour les sujets de condition d'importance faible (peu $), car la réactance serait peu ressentie, et l'influence dépend alors uniquement de la pression exercée. Cependant on remarque une phénomène très étonnant: C'est dans la condition ayant un effet de réactance (importance haute ET attraction haute) que l'on trouve la plus haute influence de la pression quand la saillance du groupe est retirée ➙ "quand il y a une grande récompense en jeu ET qu'on a été jugé fortement attirant, si on enlève la saillance du groupe (privé) ALORS c'est là que les sujets se rapprochent LE PLUS du groupe". CONCLUSION: Une forte réactance dans une situation d'influence sociale (par le groupe) n'indique pas nécessairement l'absence totale d'impact de la source (groupe) sur la cible (sujet haute attraction) à un autre niveau. CF : INFLUENCE DES MINORITES
2. LA REACTANCE PUBLIQUE OU PRIVEE: (seulement) Décrire l'expérience de Moscovici et Nève (1971) relevant également d'une persistance de l'influence après avoir retiré le compère influant (avec résultats)? Technique de "l'autocinétique": un sujet + un compère dont les réponses diffèrent fortement du sujet. Puis, le compère est appelé à se retirer et le sujets continue à donner ses réponses seul. Résultats: En présence du compère, la totalité des sujets sont influencés. Quand le compère part, son influence persiste. Par contre, en situation contrôle, où le compère reste jusqu'à la fin, il y a une forte diminution de son influence sur le sujet à partir de la 2e moitié de l'expérience.
2. LA REACTANCE PUBLIQUE OU PRIVEE: Expliquer l'idée derrière les résultats de l'expérience de Moscovici et Nève (1971) relevant également d'une persistance de l'influence après avoir retiré le compère influant? Selon les auteurs, les résultats s'expliquent par le fait que le compère reste campé sur sa position pendant toute l'expérience, montrant ainsi une volonté unilatérale d'influencer le sujet. En condition contrôle, se soumettre jusqu'au bout à l'influence du compère serait désagréable (réactance), par contre en situation expérimentale, quand le compère part, l'influence peut persister, ce sentiment négatif de réactance est retiré du champ car on n'a pas le sentiment de capituler. Les auteurs en concluent qu'une résistance accrue dans une situation ne veut pas forcément dire que la source n'aurait pas un impact sur la cible à un autre niveau.
3. LE POUVOIR ET LA REACTANCE: (seulement) décrire l'expérience de Brehm (1966) sur les "machines à enseigner" (sans résultats)? On demande à des étudiants un avis (mesure 2) sur les "machines à enseigner" après un pré-questionnaire (mesure 1). On leur demande de lire un texte issu d'UNE source avec UNE certaine pression à la fin. 1. Condition de haut prestige: source = éminent universitaire. 2. Condition de bas prestige: source = étudiant normal. A. Basse pression: "Je trouve que l'on devrait utiliser..." B. Haute pression: "Les étudiants doivent de toute manière utiliser...". On mesure ensuite le changement (ou non) d'opinion entre le pré-questionnaire et la lecture du texte pour savoir si l'étudiant se rapproche de la position proposée (+), si il ne change pas (0) ou si il s'en éloigne (-).
3. LE POUVOIR ET LA REACTANCE: Décrire les résultats de l'expérience de Brehm (1966) sur les "machines à enseigner"? On observe dans les résultats que la pression haute engendre l'apparition de réactance (plus de sujets qui s'éloignent de la source dans leur opinion que de sujets qui s'en rapprochent) mais seulement si la source est prestigieuse. Brehm émet deux hypothèses: 1. La pression n'est pas prise au sérieux si elle vient d'un étudiant mais est plutôt ressentie comme un appel à un accord de groupe. 2. (la plus plausible selon le livre) Quand l'émetteur est l'étudiant, les sujets s'identifient à lui alors que le professeur menace leur liberté de penser et de s'exprimer car il est supérieur au groupe ➙ rejet de l'influence.
3. LE POUVOIR ET LA REACTANCE: (seulement) Décrire l'expérience de Worchel et Brehm (1971) sur la dissipation des effets de la réactance par la personne-alibi? Un sujet pour deux compères discutent d'études de cas. Ils doivent lire et choisir parmi deux cas, d'attraction égale. Ensuite, 7 min de discussion, sans mentionner le choix (but: faire connaître les compères au sujet). Puis par vote secret et individuel, les sujets doivent donner leur choix. Nouvelle discussion relative au choix final. 1. Condition contrôle sans pression : questionnaire dont choix de l'éude cas. 2. Condition avec pression : un des compère affirme il est évident que c'est le cas A (menace liberté de choisir cas B). Fin de la discussion, questionnaire. 3. Condition avec pression + restauration de la liberté : même affirmation condition 2 + l'autre compère répond "Attendez, je n'ai pas pu me décider." Illustration de l'INDEPENDANCE DU COMPERE vis-à-vis de la source de pression. Fin de la discussion, questionnaire.
3. LE POUVOIR ET LA REACTANCE: Décrire les résultats de l'expérience de Worchel et Brehm (1971) sur la dissipation des effets de la réactance par la personne-alibi? Comme prédit: 1. Face à un compère influent, les sujets décrivent l'autre choix que celui émis par le compère comme étant le plus attractif (réactance). 2. Lorsque la menace subsiste mais que le 2e compère reste indépendant du choix du premier, les sujets admettent le choix proposé par le 1er compère. La liberté est ainsi restaurée par la personne-alibi qui fait diminuer le sentiment de réactance et permet ainsi d'être simplement influencé dans le sens du 1er compère.
Dans le contexte social, quel est l'exemple type de l'utilisation des personnes-alibi pour lutter contre la réactance (rapport dominé-dominant)? La réactance développée dans le cadre des rapports sociaux: Pour éviter de briser la crédibilité des normes imposées par le groupe dominant de la société, il faut assurer une certaine mobilité en permettant à quelques membres du groupe des dominés d'accéder aux avantages des dominants (richesse, pouvoir, culture, etc.). Ces personnes qui grimpent l'échelle constituant des sortes de PERSONNES-ALIBIS permettent de masquer la division et la subordination des uns au pouvoir des autres. = théorie. Pas de rapport de causalité établi.
4. LES LIMITES DE LA LIBERTE: (seulement) décrire la première version de l'expérience de Heilman (1976) sur la pétition sur le prix des denrées (sans résultats)? 360 passants sont arrêtés dans une rue avoisinant un supermarché. Leur tâche est de signer une pétition (+ donner son nom et adresse) pour le contrôle fédéral du prix des denrées alimentaires. A chaque pétition est associée une carte avec une menace. Menace faible: "X prétend que cette pétition est dangereuse pour l'économie." Menace forte : "On ne devrait pas être autorisé à faire signer cette pétition." Menace forte + représailles : "Il sera pris notes des gens qui signent cette pétition." Condition 1: on dit à la moitié des sujets que la personne qui a écrit sur la carte est membre d'une association de citoyens (bas pouvoir). Condition 2: on dit à l'autre moitié que cette personne est un important personnage officiel (haut pouvoir). Mesure (VD): signatures récoltées.
4. LES LIMITES DE LA LIBERTE: décrire les résultats de de la première version de l'expérience de Heilman (1976) sur la pétition sur le prix des denrées? Le taux de signature augmentent avec la menace (réactance) tant qu'il n'y a pas de menace de représailles. Mais quand la source de la menace parle de conséquences, il n'y a que l'agent de bas pouvoir qui produit un effet de réactance (car les conséquences semblent petites). L'expression de la liberté (conséquence de la réactance) connaît donc des limites dans son exercice. Pesée d'intérêt entre dire ce qu'on pense + conséquences négatives VS. ne pas dire ce qu'on pense + pas de conséquences négatives. On n'est pas libre d'agir quoi qu'il arrive donc on préfère se protéger.
4. LES LIMITES DE LA LIBERTE: (seulement) décrire la deuxième version de l'expérience de Heilman (1976) sur la pétition sur le prix des denrées (avec résultats et interprétation)? La même expérience de signature d'une pétition sur le prix des denrées est réalisée mais cette fois uniquement avec une source de menace de haut pouvoir (personnage fédéral). On a les mêmes menaces (faible, forte, forte + représailles) et les conditions sont: 1. Consigne de signer + nom et adresse 2. Simplement signer (anonyme). Les résultats confirme la réactance: en situation d'anonymat, tout le monde signe malgré les menaces et les représailles mais en situation de non-anonymat, peu de sujets signent. On voit que FACE AU POUVOIR, la réactance est POSSIBLE mais la restauration de la liberté n'est possible que si le RAPPORT AU POUVOIR est occulté par l'anonymat.
Qu'a-t-on découvert sur la réactance grâce à l'expérience de Heilman (1976) sur le prix des denrées alimentaires? Que la réactance a des limites. La condition sine qua non de la réactance est la liberté d'agir car si on va être contraint quoi qu'il arrive, on se soumet à cette contrainte.
De façon générale, quelle précautions doivent être prises lorsque l'on établit des théories de réactance dans la société. Il ressort de ces expériences que l'apparition de la réactance et des procédures visant à recouvrir une liberté perdue sont liées à des significations enracinées dans une structure sociale de hiérarchie (dominant-dominé). Ainsi la réactance doit être inscrite dans les rapports sociaux caractéristiques d'une SOCIETE DONNEE.

Semelhante

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