Question 1
Question
D’après la Théorie de l’Evaluation Cognitive (Deci. 1975), la motivation intrinsèque est un prédicteur du bien-être subjectif.
Question 2
Question
D’après Blais et al. (1993), la motivation intrinsèque aux sensations est « celle de l’individu qui effectue l’activité pour la satisfaction et le plaisir d’être en train d’apprendre de nouvelles choses ».
Question 3
Question
La théorie des orientations de causalité (Deci& Ryan, 1985) définit des orientations motivationnelles relativement stables qui correspondent au « niveau global » dans le modèle hiérarchique de la motivation de Vallerand (1997).
Question 4
Question
Dans le modèle hiérarchique de Vallerand (1997), les conséquences de la motivation sont
classées en trois catégories : bien-être, détresse psychologique et conséquences
comportementales.
Question 5
Question
Dans la perspective de Cohen et Sparling-Cohen (1993), « induction intrinsèque de l’effort » signifie que certaines tâches possèdent pour certains individus des caractéristiques telles qu’elles déclenchent par elles-mêmes un effort attentionnel.
Question 6
Question
Les travaux de Mac Worth (1950) indiquent que dans une situation de surveillance (test de
l’horloge), les participants ne parviennent pas à maintenir un niveau élevé d’attention au-delà
de 10 minutes.
Question 7
Question
Dans l’étude de Hayashi et al. (1998), la condition « animation » donne lieu à une moindre manifestation du rythme ultradien endogène d’activation.
Question 8
Question
L’expérience de Dember et al. (1992) montre que le choix du niveau de difficulté de la tâche réduit les variations ultradiennes de la performance attentionnelle.
Question 9
Question
Le modèle hiérarchique cognitivo-affectif de Labelle et al. (2001) distingue différents niveaux de bien-être mental : situationnel, contextuel, global.
Question 10
Question
L’étude de Sheldon & Eliott (1999), située dans la perspective hédoniste, montre que l’atteinte d’un but s’accompagne d’une élévation du niveau de bien-être.
Question 11
Question
La notion de « représentation mentale » suppose de concevoir l’existence d’ « objets mentaux » ayant une fonction de référence et tenant lieu d’autres objets, fictifs ou réels.
Question 12
Question
Dans la perspective matérialiste et non réductionniste, l’activité mentale, bien qu’issue d’une activité cérébrale, a des caractéristiques qui l’en distinguent.
Question 13
Question
Les représentations dites « analogiques » se caractérisent par un lien d'isomorphisme
structural entre représenté et représentant et conservent les propriétés structurales des
objets représentés.
Question 14
Question
L'idée d’une « intelligence artificielle » est compatible avec le cognitivisme.
Question 15
Question
L’approche dite « éliminativiste » envisage la disparition à terme des notions
mentalistes de la psychologie cognitive traditionnelle
Question 16
Question
Le « problème de Molyneux » peut être traduit en terme de « formats de
représentation mentale »
Question 17
Question
Dans le débat entre conceptualistes et imagistes, les premiers envisagent l’existence,
dans le cerveau, d’un « langage de la pensée »
Question 18
Question
La communauté de structures neuronales impliquées dans les activités de perception
visuelle et dans celles d’imagerie visuelle a conduit Kosslyn à l’idée d’une « cognition
visuelle de haut niveau ».
Question 19
Question
« La notion de représentation mentale semble être conceptuellement justifiée dans la
mesure où l’acte de connnaître suppose que le sujet fasse sien un fragment du monde
extérieur, l’assimile et le rende présent à sa conscience » : cette proposition est
compatible avec l’idée d’une pluralité de formats de représentation mentale.
Question 20
Question
Le « scribe interne » constitue le medium dans lequel vont s’actualiser les images mentales
visuelles qui serviront au traitement de l’information visuelle et spatiale dans le mode le de
Kosslyn.
Question 21
Question
Le système visuel humain est le système qui a la meilleure acuité et les meilleures
performances de toutes les espèces animales.
Question 22
Question
L'acuité visuelle à 20 degrés d'excentricité est de 0,1
Question 23
Question
Lors de la recherche d’une saillance visuelle endogène, l’apparition d’une saillance exogène attire les mouvements oculaires dans 75% des cas.
Question 24
Question
Lors de l’exploration d’une nouvelle scène visuelle, la vision focale permet de percevoir les objets de la scène visuelle au cours des toutes premières saccades d'exploration.
Question 25
Question
Dans la vision ambiante, les saccades sont de grande amplitude et les fixations de courte durée.
Question 26
Question
La sensibilité à la variation de la taille de la pupille des autres personnes que l’on regarde est spécifique de l’espèce humaine.
Question 27
Question
L’expérience de Kauffman, Ramanoel et Peyrin (2014) en IRMf permet de montrer que la vision centrale traite prioritairement les hautes fréquences spatiales.
Question 28
Question
L’identification des objets dans une scène visuelle s’appuie sur le système visuel parvocellulaire et nécessite un temps de traitement d’environ 120-160 ms.
Question 29
Question
Le cortex orbito frontal influence le champ oculaire frontal et le cortex pariétal postérieur suite à la reconnaissance d’une scène visuelle pour le traitement des objets de cette scène.
Question 30
Question
Dans la théorie de l’attention visuelle, la recherche d’une saillance visuelle endogène correspond à un traitement bottom-up, le temps de recherche ne dépend pas du nombre de distracteurs.
Question 31
Question
L'article de Gilmore et Cuskelly (2009) a pour unique objectif de démontrer la stabilité de la motivation au cours du développement de l'enfant atteint du syndrome de Down
Question 32
Question
Gilmore et Cuskelly (2009) font appel à deux groupes d'enfants :
1- enfants avec un syndrome de Down (n=25)
2- enfants typiques.
Question 33
Question
La mastery motivation (MM) est évaluée par la persistance dans la tâche de l'enfant mais également par une évaluation subjective faite par la mère.
Question 34
Question
La mastery motivation à T1 est corrélée significativement aux compétences en lecture, en mathématiques mais également à la motivation à T2.
Question 35
Question
Il n'est possible d’influer sur la motivation d'un enfant DI que par des renforcements externes.
Question 36
Question
Un système d'auto-renforcement correspond à un système d'auto-récompense qui ne
peut être mis en place chez des enfants atteints de déficience intellectuelle
Question 37
Question
La mesure de l’engagement scolaire proposée par Brault-Labbé et Dubé (2010) renvoie à un concept bi-dimensionnel incluant le comportement et la cognition.
Question 38
Question
Brault-Labbé et Dubé (2010) adoptent une lecture hédoniste du Bien-Etre qui inclut entre
autres le bonheur, le sens donné à la vie, la satisfaction scolaire.
Question 39
Question
Brault-Labbé et Dubé (2010) relient la motivation intrinsèque au Bien-Etre avec pour médiateur l'engagement scolaire.
Question 40
Question
. Selon Brault-Labbé et Dubé (2010), le bien être de l’étudiant est un prédicteur de l’engagement scolaire: accroître le BE de l’étudiant induit donc un meilleur engagement de celui-ci dans les études.
Question 41
Question
Le dualisme ontologique postule une différence de nature entre activité cérébrale et activité mentale.
Question 42
Question
L’imagerie cérébrale permet de visualiser l’activité du cerveau et d’accéder a la
valeur sémantique des représentations.
Question 43
Question
La question des formats de représentation mentale a occupé une partie des
débats théoriques de la psychologie cognitive des années 80 et a trouvé dans le
modèle de Kosslyn une solution de compromis visant à distinguer deux niveaux de
représentations, correspondants à la distinction entre mémoire permanente et
mémoire de travail.
Question 44
Question
La « permanence de l’objet », étape cruciale du développement cognitif, peut
être considérée comme l’accès au « monde symbolique » si l’on entend par là la
capacité d’intentionnalité caractéristique du cerveau humain
Question 45
Question
Des analogies structurales et neuronales peuvent être observées entre
perception et imagerie visuelles.
Question 46
Question
Les aveugles congénitaux sont incapables, dans la majorité des cas, de former des
représentations spatiales.
Question 47
Question
Le niveau d’expertise tactile des aveugles congénitaux est un des facteurs qui
permet d’expliquer la variabilité interindividuelle en matière de performances
dans les activités relevant de la cognition spatiale.
Question 48
Question
Dans l’expérience de Dulin et Martins (2006), l’une des épreuves proposées
pour évaluer les compétences d’imagerie spatiale chez les aveugles repose sur la
capacité à effectuer des rotations mentales.
Question 49
Question
L’expérience de Dulin et Martins (2006) montre que les personnes ayant été
privées d’une expérience visuelle dès leur naissance sont en mesure de résoudre
des problèmes qui relèvent de ce qu’il est convenu d’appeler la « cognition
spatiale ».
Question 50
Question
La re ponse au fameux « proble me de Molyneux » se trouve dans une expe rience qui
compare les performances d’aveugles congénitaux avec celles réalisées, dans les mêmes
conditions, par des voyants.
Question 51
Question
PMG veut dire Programme moteur généralisé
Question 52
Question
Le système miroir est activé pendant l’observation du geste « attraper une tasse pour boire » mais pas pour le geste « attraper une tasse pour ranger »
Question 53
Question
Les enfants avec autisme ne montrent pas des difficultés dans l’organisation des chaînes d’actes moteurs
Question 54
Question
Le gyrus frontal inférieur, le cortex pré-moteur et le lobe pariétal inferieur sont les régions du système miroir chez l’humain
Question 55
Question
Les neurones miroirs interviennent dans le développement de la coordination motrice chez l’enfant
Question 56
Question
Il existe deux modes d’interactions en psychologie de l’action : le mode prédictif pour
prendre des décisions en anticipation, et le mode réactif qui permet de s’adapter à des
choses imprévues.
Question 57
Question
Le mode prédictif fait appel à des processus conscients
Question 58
Question
Le bon fonctionnement du mode réactif de la planification motrice requiert de
l’information sensorielle en retour de l’environnement (un feedback), un comparateur et
une trace mnésique de l’intention motrice de départ.
Question 59
Question
La boucle interne permet le phénomène de la simulation motrice, c’est-à-dire la capacité à
imaginer les conséquences sensorielles d’un mouvement réflexe.
Question 60
Question
Le modèle de Schmidt proposé en 1975 stipule que le programme moteur généralisé
définit l’ensemble des règles qui relient les paramètres d’un mouvement aux
caractéristiques de l’environnement dans lequel il se déroule. Cette théorie du schéma
moteur correspond à la boucle ouverte dans l’approche computationnelle de la psychologie
de l’action.