Frage 1
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Au XVIème siècle, en France, les poètes cherchent à démontrer qu'ils comptent, qu'ils sont aussi importants que les autres artistes (peintres, sculpteurs, musiciens) qui vivent dans la société. La poésie [blank_start]n'est pas un divertissement artificiel[blank_end] ; c'est l'[blank_start]expression[blank_end] la plus exigeante de la [blank_start]vérité.[blank_end]
La poésie lyrique
Certains constituent un groupe, appelé la Pléiade, et développent une poésie [blank_start]lyrique[blank_end] : le poète est pris par la "fureur" ; il est [blank_start]le messager[blank_end] des Dieux.
Les thèmes de la poésie lyrique sont, le plus souvent, la fuite [blank_start]du temps[blank_end], la fragilité des [blank_start]êtres[blank_end] et le [blank_start]douloureux[blank_end] bonheur d'aimer.
Ses principaux représentants sont [blank_start]RONSARD[blank_end] et [blank_start]DU BELLAY[blank_end].
La poésie engagée
En 1562, la France est en pleine guerre de religions : [blank_start]catholiques[blank_end] et protestants s'opposent ; parfois violemment dans des combats sanglants ; parfois plus pacifiquement en apparence, dans des écrits : ainsi [blank_start]RONSARD[blank_end] dans Discours des misères de ce temps défend t-il le parti catholique alors que [blank_start]D'AUBIGNE[blank_end] défend les protestants dans son long poème intitulé Les Tragiques.
Les voix du renouveau
Quelques poètes empruntent des voies singulières, qui leur sont propres : [blank_start]Marguerite de NAVARRE[blank_end], la soeur du roi François 1er, exprime la sincérité de sa foi religieuse dans son recueil poétique, Le Miroir de l'âme pécheresse.
[blank_start]Louise LABE[blank_end], lyonnaise, a une vie tumultueuse et est l'auteur de sonnets dont le plus célèbre est " Je vis, je meurs" .
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;
J'ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m'est et trop molle et trop dure.
J'ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à un coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j'endure ;
Mon bien s'en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène ;
Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
Conclusion
On peut dire que, pour les [blank_start]poètes du XVIème siècle[blank_end], la poésie est un [blank_start]moyen d'expression[blank_end] irremplaçable.
Frage 2
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Au XVIIème (17ème siècle) siècle, les poétes cherchent (1 seule bonne réponse)
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à ressembler aux poètes du XVIème (16ème) siècle ?
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à se différencier des poètes du XVIème (16ème) siècle ?
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à faire comme ils l'entendent, sans aucun modèle
Frage 3
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Au XVIIème siècle, la poésie mondaine se développe
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dans les salons
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dans la rue
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au théâtre
Frage 4
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La poésie religieuse s'inspire
Frage 5
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Au XVIII ème (18ème) siècle, la poésie est vue comme un exercice futile
Frage 6
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La poésie et la chanson populaire sont des expressions de la poésie au XVIIIème (18ème) siècle
Frage 7
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Au XVIIIème (18ème) siècle, les salons sont les lieux où se rencontrent les poètes
Frage 8
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Au XVIIIème siècle, on écrit
Frage 9
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VOLTAIRE a écrit ( 2 réponses attendues)
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Il y a une poésie lyrique au XVIIIème siècle
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Les poètes du XIXème (19ème) siècle veulent interroger le monde
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Pour Victor HUGO, le poète doit (2 bonnes réponses attendues)
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"marcher devant les peuples comme une lumière"
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dénoncer toutes les formes d'oppression
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explorer les contradictions de l'Homme moderne
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explorer le monde à travers l'expérience de la bohème